vendredi 11 mars 2016

Après la pluie vient le beau temps ''dit - on''



Dans la plus part des quartiers de certaines communes de la ville Province de Kinshasa, la pluie est la source de plusieurs malheur. On arriverait même à dire : « après la pluie vient le faut temps ». Les eaux de pluie surgissent de partout à la fois accompagné des immondices de tout genre à savoir : des débris ménagers, des contenus des fosses septiques, des eaux sales des puits perdus accompagnées des odeurs nauséabondes, pour ne citer que cela.   
Et pourtant, si chaque Propriétaire devait construire sa maison et canaliser les eaux de pluie du ruissellement des toits  suivant les normes de l’urbanisation ;
Si toutes les ménagères pouvaient  quotidiennement évacuer les ordures  vers les dépotoirs publiques, ou lorsque la parcelle est grande, installer un compotier loin de la maison pour les éviter des insectes et parasites, et les eaux sales de ménages soient canaliser vers les fosses septiques et non dans la rue ;
A notre niveau se serait une façon de se prendre en charge et de sécuriser sa propre famille et celle  du voisin le plus proche en rappelant bien sur à l’autorité de tutelle  d’assumer ses responsabilités.
A mon avis les eaux de pluie à Kinshasa occasionnent dans certains cas des pertes énormes des biens difficilement acquiert et aussi des vies humaines,  une sorte des  tombes  communes.


Femmes Congolaises et la vie Politique


La participation de la femme dans la vie Politique est d'actualité en cette période électorale, dans le monde entier. La République Démocratique du Congo ne reste pas indifférente de cette vague. Jadis, la plus part des femmes de notre pays qui se remarquaient se contentaient plus à l' exhibition des danses des chansons révolutionnaires plutôt qu'à la gestion de la chose publique. Elles ne se rendaient pas vraiment compte de ce que causait leurs absences dans la scène politique, par exemple de contribuer  avec des idées dans le domaine de l'économie, de la santé, l'environnement, l'éducation etc. Pour ne citer que cela.
A ces jours, nous comptons quelques unes qui se distinguent dans certains Partis Politiques. Les unes sont Présidentes, les autres sont Secrétaires Générles, et tant d'autre occupent des fonctions multiples mais, la participation est très faible.

Que faut-il pour accroitre le nombre des femmes en politiques? Je pense à mon avis, que celles qui se distinguent à ce jour, pensent approcher leurs semblables, les former, les informer et les entraîner à emboîter leurs pas.
    

mercredi 18 février 2015

D'où m'est venue l'idée de me lancer dans la vie politique?



Photo google    



J'ai eu l'occasion d'observer des femmes de tout genre qui émergaient  pour ne pas dire, qui s'affichait dans la classe politique Congolaise. J'ai admiré par exemple la participation politique de Maman Cathérine Nzuzi wa Mbombo qui a commencé sa carrière politique à l' âge de 23 ans, elle a commencée par être Bourgmestre de la Commune de la Gombe en 1967, puis elle devient Gouverneur de la province du Bas-Congo de 1972 à 1975.Cette femme, parmis tant d'autres m'a donné le courage de mettre au service de ma nation mes compétences, mes capacités et mon temps

Durant mon parcours scolaire, je n'ai pas hésitée de reagir à travers les médias face à l'augmentation repétée des frais scolaires en cette période où j'étais élève au Lycée Tecnique de la Gombe, de 1993 à1997. C'est par là que je me suis décidée.